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Tour Auto 2019
28/04/2019
Nouvelle édition pour le célèbre Tour Auto. Comme chaque année, le départ se fait depuis le Grand Palais. Le dimanche précédant le départ, on peut donc assister à l'arrivée des participants et au ballet incessant de magnifiques autos de course anciennes. J'arrive donc en début d'après-midi pour en prendre plein les yeux. Aperçu.
On retrouve toujours pas mal de Porsche 356 et 911 lors de l'épreuve. Cette année ne faisait pas exception.
BMW étant partenaire de l'évènement, la marque à l'hélice était également très bien représentée, avec en vedette deux M1 donc une Procar, ou également une 507 !
Du coté de chez Ferrari, également partenaire, on avait connu mieux en terme de représentation. Quelques 308, des Dino, une 250 Lusso et une 275, ainsi que la toute dernière F8 Tributo, mais sinon rien de bien croustillant à se mettre sous la dent.
Autres Italiennes, les Alfa Romeo, toujours très nombreuses : Giulia, Giuletta Sprint, Giulia SS,...
Chez Lancia, on avait les classiques Fulvia et Stratos. La Maserati 200 SI répond toujours présent. Et une Fiat 124 de plus.
Les V8 américains font toujours autant trembler les meubles : Camaro, Corvette, Cobra, enfin, cette dernière a été poussée jusqu'à l'entrée...
On se rattrappe donc avec ces Italiennes au coeur américain que sont les De Tomaso Pantera : magnifique !
Les belles Anglaises sont aussi légions : Mini Cooper, Jaguar Mk 2 et Type-E ou Triumph TR2.
Chez les Françaises les grandes marques que sont Peugeot et Renault étaient bien réprésentées : 504 Coupé, 304 du musée de la marque, 104 (avec le présentateur de Direct Auto) ou Alpine A110.
Autres marques aujourd'hui disparues : BSH, CG et Jidé.
Pour le reste : Opel Commodore GSE, Ford Capri, Saab 96 ou Mercedes-Benz SLC.
Enfin, comme toujours, quelques voitures sympas passent dans les rues de la capitale : Aston Martin Cygnet et DB5, Audi R8, Ferrari 355, Renault Alpine A110 ou Nissan GTR Nismo.
Ce fût une après-midi sympathique, avec quelques très belles pièces vues, même si l'on peut un peu regretter le faste des plus anciennes éditions. Et contrairement aux années précédentes, je n'ai pas chercher à rentrer dans le Grand Palais le lundi pour l'exposition ou assister au départ de la courses le mardi matin, même si j'ai dû rater une ou deux GT40 et quelques Cobra supplémentaires. A l'année prochaine !